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Szomorú vasárnap

25 mai 2014

Samedi, en feuilletant un manuel de turc pour débutants, j’ai appris que le mot coiffeur avait été adopté tel quel dans cette langue, écrit kuaför. De même le mot petit-beurre, écrit pötibör. C’est cela qui sidère, un tel amour des Turcs pour les petits-beurres.

Aujourd’hui dimanche : voter, et l’après-midi aux Abattoirs.

Vers le soir, le ciel se couvre de lourdes nuées noires.

Festival international d'art de Toulouse. Exposition Franz Gertsch, Musée des Abattoirs, Toulouse, 25 mai 2014

Festival international d'art de Toulouse. Exposition Franz Gertsch, Musée des Abattoirs, Toulouse, 25 mai 2014

Festival international d'art de Toulouse. Exposition Franz Gertsch, Musée des Abattoirs, Toulouse, 25 mai 2014

Toulouse (France), jardin Raymond VI, 25 mai 2014

Pál Kalmár | Szomorú vasárnap [Sombre dimanche] / László Jávor, paroles ; Rezső Seress, musique ; Pál Kalmár, chant ; accompagnement orchestral. 1935.

Damia | Sombre dimanche / László Jávor, paroles ; Jean Marèze et François-Eugène Gonda, adaptation française ; Rezső Seress, musique ; Damia, chant ; accompagnement orchestral. 1936. Adapté de : Szomorú vasárnap (Hongrie, 1933).

Sombre dimanche
Les bras tout chargés de fleurs
Je suis entrée dans notre chambre, le cœur las
Car je savais déjà que tu ne viendrais pas
Et j’ai chanté des mots d’amour et de douleur
Je suis restée toute seule et j’ai pleuré tout bas
En écoutant hurler la plainte des frimas
Sombre dimanche

Je mourrai un dimanche où j’aurai trop souffert
Alors tu reviendras mais je serai partie
Des cierges brûleront comme un ardent espoir
Et pour toi, sans effort, mes yeux seront ouverts
N’aie pas peur, mon amour, s’ils ne peuvent te voir
Ils te diront que je t’aimais plus que ma vie
Sombre dimanche
Jean Marèze et François-Eugène Gonda. Sombre dimanche (1936), adapté de : László Jávor. Szomorú vasárnap (Hongrie, 1933).

Billie Holiday | Gloomy Sunday / László Jávor, paroles ; Sam Lewis, adaptation anglaise ; Rezső Seress, musique ; Damia, chant ; accompagnement orchestral. 1936. Adapté de : Szomorú vasárnap (Hongrie, 1933).

4 commentaires leave one →
  1. Mireille permalink
    26 mai 2014 16:05

    J’ai cru un instant, en voyant le titre, que « Συννεφιασμένη κυριακή » avait été traduite en hongrois !

    Mais finalement, moins de désespoir chez Tsitsatnis, qui se contente de soupirer profondément (un verbe grec qui marie les deux mots).

    http://www.tsitsanis.gr/audio/sunnephiasmene-kuriake-s-kazantzides-ludia-marinella

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  2. Trio Kymata • Θλιμμένη Κυριακή [Thlimménī Kyriakí] | Je pleure sans raison que je pourrais vous dire

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