Ça va mal
De quelque côté qu’on regarde les choses…
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Cette année les hortensias étaient en abondance, pleins, lisses, doux et bleus comme une nostalgie d’enfances qu’on aimerait avoir eues.
L’huile venait de Sicile. On avait acheté sur le marché une tomate énorme, grande comme une assiette ou presque, dont on prélevait de quoi comme d’un jambon.
Mais il n’a pas fait beau.
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Cette année l’huile était en abondance, pleine, lisse, douce et bleue comme une nostalgie d’enfances qu’on aimerait avoir eues.
Les hortensias venaient de Sicile. On avait acheté sur le marché une assiette énorme, grande comme un jambon ou presque, dont on prélevait de quoi comme d’une tomate.
Mais il n’a pas fait beau.
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Cette année le jambon était en abondance, plein, lisse, doux et bleu comme une nostalgie d’enfances qu’on aimerait avoir eues.
La tomate venait de Sicile. On avait acheté sur le marché des hortensias énormes, grands comme des assiettes ou presque, dont on prélevait de quoi comme d’une huile.
Mais il n’a pas fait beau.
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… on arrive à la même conclusion.
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A ce que je vois, l’herbe est restée verte, à ce que je lis de la ritournelle, l’humeur était gaie et propice à perdre la tête. De la beauté absurde de nos jours.
Elle a eu tout ce qu’il faut pour rester verte, l’herbe, il faut dire… 😉